S’autoriser de vraies pauses
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S’autoriser de vraies pauses

S’autoriser de vraies pauses

S’autoriser de vraies pauses, ça prend du temps

Même si c’est nécessaire et important, on peut parfois avoir du mal à prendre du temps de pause. S’autoriser de vraies pauses.

Regarde, est-ce que tu arrives immédiatement à te sentir en vacances dès ton 1er jour de congé ? Non. Si tu restes dans le même environnement de vie, le cerveau peut prendre du temps à comprendre qu’il est en vacances. Cette prise de conscience va plus vite quand on voyage et qu’on change de lieu de vie pour quelques jours.

Ce délai de latence est d’autant plus vrai lorsque tu as n’as pas pris de vraie pause depuis longtemps. 

Qu’est-ce que j’entends par « vraie pause » ? Je parle des pauses qui permettent de faire une déconnexion nette. Les bonnes coupures qui font du bien, tu vois forcément de quoi je parle. 😊

Ici, je ne parle pas des petites pauses du type « une demi-journée off » ou « un petit week-end ». Ces pauses-là sont vitales pour tenir sur le long terme et avoir le sentiment de profiter de son quotidien. 

Cependant, on va se concentrer sur les pauses qui permettent une vraie déconnexion. Et souvent, celles-ci demandent du temps. Du temps pour que le cerveau comprenne qu’il peut s’autoriser à ne plus être en mode « J’ai des tâches à effectuer » et davantage de monde « Je peux relâcher la pression et ne pas être productif.ve ! »

S’autoriser de vraies pauses et à ne plus être productif

Dans le fond, c’est bien cette notion de productivité qui est centrale. Dans nos vies professionnelles et aussi dans la vie personnelle, on a tellement de choses à faire, qu’on se doit d’être dans la productivité. Il faut s’organiser, il faut être efficace, etc… Et c’est fatiguant. 

On reste des êtres humains, sous-entendu : « Nous ne sommes pas des machines. » Alors si notre vie et notre travail le permettent, autant s’octroyer de vraies pauses de temps en temps. Pour notre santé mentale et physique.

Pour aller plus loin sur ce point, lisez l’article
« Quand la pause s’impose : Faire une pause et s’autoriser à décompresser ! »

« Je ressens que j’ai besoin profondément d’une pause, mais je culpabilise à l’idée de prendre cette pause… » Est-ce que tu culpabilises parfois de faire une pause de quelques jours ou de partir en vacances ?

Cette culpabilité peut venir de l’intérieur. « Je ne m’autorise pas à ralentir, à prendre du temps pour mon bien-être. » Cette culpabilité peut aussi venir de l’extérieur. « Que vont penser/dire mes collègues si je prends deux semaines de congés en dehors des vacances habituelles ? » 

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Se sentir inspiré et serein grâce aux pauses

D’ailleurs, on peut aussi parler d’un sentiment agréable quand on s’autorise à prendre de vraies pauses. « Je me sens à ma place, dans mon élément. La pause m’a reconnecté avec mon esprit et mon corps. » Professionnellement, c’est très vrai, d’autant plus quand on a envie de faire le point et de prendre du recul sur son projet professionnel. Bien sûr, c’est avant tout valable dans la vie personnelle et quotidienne.

L’auteur Christophe André, que j’aime beaucoup et dont je parle régulièrement sur ce blog, évoque la notion de sérénité dans son livre du même nom : Sérénité – 25 histoires d’équilibre intérieur.

Si je t’en parle dans cet article sur les pauses, c’est que l’auteur met en lumière nos zones d’ombre que l’on peut avoir dans la vie quotidienne. Non pas en les diabolisant, mais en leur donnant leur place. Si elles sont là, déjà, c’est normal, mais aussi elles ont des choses à nous dire. Il met en avant le fait de faire des pauses sur sa vie, afin de mieux la comprendre et (ne pas trop) la gérer. 

Ces 25 petites histoires de la vie quotidienne nous invitent à prendre du recul sur nos états d’âmes, tant positifs que négatifs, afin de se sentir davantage serein dans nos vies. 

Il s’agit d’un ouvrage très humble, qui m’a personnellement fait beaucoup de bien. Il déculpabilise beaucoup et aide à moins se mettre la pression. On y apprend aussi à reconsidérer son rapport aux autres et à questionner les liens que l’on tisse avec notre entourage. 

« Les ombres embellissent le jour, et c’est ainsi que les lumières du soir ou du matin sont souvent plus belles et plus subtiles que celles du plein midi. Il en est de même pour nos états d’âmes. »
Christophe André dans son livre Sérénité – 25 histoires d’équilibre intérieur

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S’autoriser à ne plus culpabiliser de prendre une pause

Autant être le plus lucide possible sur les sources de cette culpabilité, pour s’en détacher le plus rapidement possible.

Oui, si ton corps te dit « J’ai besoin d’une pause. », il faut l’écouter… Combien de personnes tirent sur la corde, n’écoutent pas les signaux que leur envoient leur corps, et finissent pas « avoir la corde qui lâche » ? 

Surtout que bien souvent, il suffit de quelques jours de pause régulièrement pour se sentir mieux sur le long terme. 

Après bien sûr, chacun.e a des obligations dans sa vie qui fait qu’il est plus ou moins facile de s’autoriser de vraies pauses, c’est certain. Pour autant, ce n’est pas une excuse pour ne rien faire. 

S’autoriser à « partir en vacances »

Donc, c’est un avis personnel : Partons en vacances dès que l’on en ressent l’envie, dès lors que c’est possible. Pourquoi se priver ?

Le journal Les Echos a écrit un article pour aider à faire une pause sans nuire à sa carrière. L’idée est avant tout de faire une pause, car c’est nécessaire, mais sans se mettre de bâtons dans les roues.

Dans l’expression « partir en vacances », il y a deux mots intéressants.

  • Partir. Partir où ? Loin de son quotidien. (Physiquement et/ou mentalement.) Pour se changer les idées. Pour prendre du recul sur sa vie quotidienne. L’action de partir permet bien souvent de revenir dans un état émotionnel différent. Partir ne signifie pas forcément partir géographiquement de son lieu de vie. Voyons le fait de partir comme le fait de s’éloigner de son quotidien, mentalement. Quand on revient d’une « vraie » pause, on se sent revigoré.e et remotivé.e. La tête et notre santé sont fraîches.
  • En vacances. Sous-entendu « des activités pas liées à notre travail quotidien ». Certain.e.s vont vouloir « ne rien faire » : enfin faire des grasse matinées et glander devant une bonne série. D’autres vont profiter de ce temps libre pour faire les travaux de peinture qui sont en attente depuis des mois. D’autres vont voyager dans un lieu nouveau ou dans leur lieu favori. Ou bien certain.e.s vont enfin pouvoir passer du temps, simplement, avec leurs qui manquent tant. Tout est possible ! 😊

Pour en apprendre davantage sur ce sujet, lisez l’article
« Prendre le temps de ne rien faire »


Merci d’avoir lu cet article et à très bientôt sur Trace Ta Carrière ! 🙂

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